Du 1er au 25 août, de Grenoble à Bruxelles, Alain Guézou marche pour dénoncer les violences de la précarité. Aujourd’hui, c’est Alain Cocq qui s’exprime, lui qui a aidé à plusieurs reprises le Don Quichotte au béret durant son périple.
Parmi toutes les personnes qui ont aidé d’une manière ou d’une autre Alain Guézou dans le défi qu’il s’est lancé, Alain Cocq figure en très bonne place. Ce Dijonnais de cinquante-deux ans devenu invalide à la suite d’un accident du travail il y a presque trente ans est un militant infatigable qui se bat contre toutes les formes d’exclusion.
Fondateur et porte-parole des Opérations Spéciales de Promotion du Monde du Handicap (OSPMH) et investi dans de nombreux combats qui lui sont chers, Alain Cocq partage avec Alain Guézou le goût des défis hors norme pour faire entendre la voix de ceux que l’on n’écoute pas assez. Il a notamment à son actif trois tours d’Europe en fauteuil roulant avec ses deux chiennes d’assistance : Diane et Tosca. Autant dire qu’il a l’expérience des raids en solitaire telle que la marche entamée il y a vingt-trois jours par Alain Guézou. C’est pourquoi il soutient totalement le Don Quichotte au béret dont il partage les convictions, n’hésitant pas à activer son réseau à plusieurs reprises pour permettre à Alain de trouver un hébergement pour la nuit ou obtenir des rendez-vous avec des élus. Il sera d’ailleurs présent aux côtés d’Alain lors de son arrivée à Bruxelles prévue dans quelques jours et de sa rencontre avec Mme Claire Perretié, conseillère emploi auprès du président du parlement Européen Martin Schulz.
Alain Cocq nous parle de sa rencontre avec Alain Guézou en quelques mots.
Se sentant proche du combat d’Alain Guézou, Alain Cocq nous explique pourquoi il a apporté son soutien à sa démarche.
Enfin, Alain Cocq réagit au peu d’écho que la presse nationale a réservé à la marche du Don Quichotte au béret.