Un pauvre sur trois est un enfant
Le 8 juillet 2013, la CNLE (Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale) a remis un avis sur la pauvreté des enfants en France.
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Le 8 juillet 2013, la CNLE (Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale) a remis un avis sur la pauvreté des enfants en France.
Afin d’accompagner et d’enrichir son exposition temporaire consacrée aux Exiliados, le Musée de la Résistance et de la Déportation propose une publication consacrée, comme l’indique son sous-titre, au « refuge chilien en Isère », mais également au Chili et aux Chiliens en général, depuis l’époque de la dictature jusqu’à nos jours.
Quarante ans après le coup d’état et l’instauration d’une dictature militaire au Chili, le Musée de la Résistance et de la Déportation consacre une exposition temporaire, du 14 juin au 21 octobre, aux exilés chiliens qui trouvèrent refuge en Isère.
« On s’embrassera quand même »
Parce que l’ironie parcourt ce livre de la première à la dernière page, c’est par souci d’autodérision qu’André Blanchard intitule le nouveau tome de son journal A la demande générale, lui qui sourit de ses deux mille lecteurs tout en soulignant que son éditeur s’en amuse beaucoup moins.
La vingt-cinquième édition des Rencontres du Jeune Théâtre Européen se déroulera pour 2013 du 5 au 14 juillet, une date de clôture symbolique puisque ces Rencontres sont, cette année, placées sous le signe des Lumières.
Dix-huit compagnies de théâtre venant de seize pays différents investiront trois espaces théâtraux (l’Espace 600, le Théâtre Prémol et le Théâtre 145) ainsi que la ville de Grenoble pour des spectacles en plein air ainsi que les parades d’ouverture et de clôture de ce rendez-vous culturel majeur.
Pour discuter de l’appel à projet de la mairie concernant les locaux du CREARC (le bureau et le Petit Théâtre, la salle de spectacle attenante) ainsi que des Rencontres du Jeune Théâtre Européen, dont nous parlons dans cet autre article, Romano Garnier, adjoint de direction du CREARC, a accepté de nous recevoir. L’entretien se déroule au Petit Théâtre, tandis que la troupe lituanienne arrivée sur les lieux installe son matériel.
Afin de présenter ses activités et festivités estivales, l’Office du tourisme organisait jeudi 27 juin une visite théâtralisée, animée par deux comédiens qui jouaient pour l’occasion les crieurs publics, truculents et doués d’un sens habile de l’improvisation.
L’opportunité nous était donnée de découvrir quelques exemples des visites guidés de Grenoble et de son histoire, à travers ses hôtels particuliers et demeures anciennes, ou son « cœur de ville historique » avec ses ruelles, sa cathédrale Notre-Dame ou son Palais du Parlement. Sans oublier le musée Stendhal, qui sera également mis à l’honneur durant tout l’été.
Pour la trente-sixième année consécutive, la Cinémathèque de Grenoble va proposer aux Isérois cinéphiles son désormais réputé Festival du Film-Court en plein air. Pour cette année 2013, ce sont 55 films qui ont été retenus par les organisateurs, dont 21 hors-compétition.
Rendez-vous est donc pris Place Saint-André à Grenoble où, du 2 au 6 juillet, chaque soir à partir de 22 heures, seront projetées les différentes œuvres en lice. L’occasion pour chacun de découvrir, gratuitement, des courts-métrages provenant des quatre coins du globe, depuis l’Espagne jusqu’au Québec, en passant par la Géorgie ou l’Iran.
C’est un paradoxe qu’il convient de souligner : que François Hollande réussisse ou non à valider son objectif d’inverser la courbe du chômage d’ici la fin de l’année 2013, l’opposition lui tirera dessus à boulets rouges.
Si cette promesse – d’ailleurs de moins en moins présentée comme telle, le Président préférant parler d’un « engagement » voire d’une « mobilisation », – devait aboutir à un échec, et les dernières prévisions de l’INSEE en ce domaine prêchent malheureusement pour cette hypothèse, l’UMP ne manquera pas de stigmatiser l’action du Gouvernement. Et cela avec d’autant plus de virulence dans le verbe que les élections municipales approchent et qu’il s’agit, pour chaque camp, d’afficher son identité politique et de mobiliser l’électeur.
Durant la présentation puis le débat auxquels participaient Martin Hirsch et François Chérèque, des manifestants, une trentaine environ, ont fait entendre leur voix avec âpreté. Brandissant des pancartes improvisées dans l’urgence aux slogans sans appel : « À quoi servez-vous ? », « Un toit c’est un droit » ou encore « La Gauche s’enfonce dans la honte », Ils prennent la parole dès les premières minutes de l’intervention de François Chérèque. Le motif de leur colère ? L’annonce de la fermeture imminente de centres d’hébergement d’urgence, entraînant l’expulsion de presque 500 personnes sans solution de relogement attestée.