Adoma : des travailleurs migrants aux jeunes actifs

Adoma, vous connaissez ? Construit à partir du latin  » ad  » qui signifie vers et  » domus « , la maison, cela donne  » vers la maison « . Fondée en 1956 pour loger les travailleurs algériens et résorber les bidonvilles, la Sonacotral, devenue ensuite Sonacotra puis Adoma, gère 450 résidences dont 12 en Isère.

Le stress au travail, le pourquoi du comment !

Depuis quelques années, le stress au travail progresse dans notre pays et touche l’ensemble des secteurs d’activité, publics comme privés. C’est devenu une priorité nationale d’essayer de rétablir le lien entre travail et bien-être. Mais la vie se résume-t-elle au seul travail ? N’y a-t-il pas d’autres maux qui peuvent être pris en compte ?

La Commune

Nous fêtons cette année les cent quarante ans de La Commune de Paris. Trois mois de rêverie révolutionnaire, mais également de souffrances et de combats qui s’achevèrent dans un bain de sang. De nos jours, l’exemple de ces Communards semble avoir été oublié…

Maman… Y’a des Cigognes à Grenoble ?

 » Oui, mon poussin ! Il y en a !  » Depuis que Boise Antelme a créé l’association Les Cigognes en 2002 à Grenoble. Il y a non seulement des cigognes, mais aussi des autruches, des poussins, des perroquets…

« C’est avec une pointe d’humour que l’on traite le sujet de l’enfant non reconnu, afin de dédramatiser les situations  » nous dit Antelme, et d’ajouter :  » des noms d’oiseaux sont utilisés pour définir le statut de chacun dans cette grande famille. Les cigognes sont donc des femmes qui ont des enfants (poussins, poussines) avec des hommes qui font l’autruche « . L’association soutient toutes les personnes qui ont un enfant non reconnu dans leur famille. Réseau d’entraide entre mères célibataires, elle soutient aussi des pères qui ont abandonné leur enfant puis ont changé d’avis, des frères, des soeurs, des grands-parents en recherche de leur descendance, autre que locale, en ayant pour ambition de faire évoluer les mentalités, de faire changer les lois sur la filiation.

L’emploi est de MISE

Les maisons pour l’emploi ont pour mission d’accueillir et accompagner les citoyens de plus de 25 ans qui veulent construire leur projet professionnel.
La Maison des initiatives, de la solidarité et de l’emploi (MISE) de Saint-Martin-d’Hères offre une belle palette de services, qu’ils soient réguliers ou ponctuels.

IMPROLOCO… ils en font toute une histoire !!!

Vous connaissez peut-être l’improvisation théâtrale, mais savez-vous que l’ImproLoco est un spectacle qui a lieu tous les vendredis soir à Fontaine ?
Mais, ImproLoco… Kézako ?
C’est un tourbillon de sketchs aussi hilarants, délirants et surréalistes les uns que les autres, tous improvisés par trois comédiens professionnels (jamais le même trio) : ils maîtrisent l’art de l’impro avec brio, c’est absolument  » bluffant « . À votre arrivée, on vous demande d’écrire un thème sur un papier, lequel sera placé dans un chapeau. Plusieurs thèmes (dont le vôtre peut-être) seront tirés au sort par les comédiens tout au long d’un spectacle sans cesse renouvelé.

Recherche heures désespérément

Florence Aubenas se présente comme femme seule, 48 ans à la recherche d’un premier emploi, sans enfant. Disponible jours, nuits et week-ends. Elle a rejoint la légion de chômeurs et vécu avec eux l’insupportable.
Première désillusion : il n’y a rien pour elle. Rien. L’employé d’une agence d’intérim résume sa situation : « Vous êtes plutôt le fond de la casserole, Madame « . Pôle emploi la met sur une piste : devenir femme de ménage, dans un secteur en pleine expansion, corvéable à merci, pour un salaire dérisoire. La résignation et la soumission seront son lot quotidien.

L’histoire d’un printemps

Il était une fois, une reine blanche nommée Bardhë qui gouvernait un univers de glace et de neige. La légende racontait que quiconque s’y aventurait, périrait dans d’atroces souffrances dans les méandres de sa mélancolie. D’apparence merveilleuse, sa beauté figée attisait la curiosité et l’envie des hommes qui se perdaient dans sa propre prison. Un jour, alors que la tempête faisait rage, un aventurier du grand Nord s’égara dans la vallée interdite. Étranger à cette région, le voyageur ne connaissait pas les histoires effroyables que l’on y racontait. Le coeur vaillant, il s’enfonça dans une étrange forêt d’arbres pétrifiés par le froid, non loin de là, au milieu d’une patinoire qui devait, jadis, être une clairière. Il aperçut des ombres figées, recouvertes de neige. En s’approchant, il réalisa que ce n’était pas des statues, mais des hommes de tous âges emprisonnés par le gel. Pris de panique, il hurla au secours ; ses cris de désespoir retentirent en écho dans le labyrinthe de glace. Perdu et face à la mort, il vit une lumière écarlate transpercer le silence de la nuit et rayonner sur les troncs glacés, laissant apparaître la reine fantôme.

Les ateliers et chantiers d’insertion en sursis ?

Le 3 novembre dernier, les ateliers et chantiers d’insertion (ACI) et leurs salariés ont manifesté en nombre devant la préfecture de l’Isère, révoltés par l’annonce brutale de la Région bloquant tout renouvellement de contrats d’accompagnement à l’emploi (CAE) et n’autorisant aucun recrutement jusqu’à la fin de l’année 2010. Une situation vécue comme un cauchemar !
 

Hadopi : touché-coulé !

De nos jours, tout le monde (ou presque) télécharge. Le développement de l’Internet haut-débit depuis une dizaine d’années et les offres plus qu’alléchantes des fournisseurs d’accès ont nettement favorisé l’acquisition rapide, gratuite (et illégale ?) de produits culturels. Sommes-nous tous des pirates en puissance ?