Bons plans culture

Quand la gastronomie devient ludique

Voilà déjà 3 ans que Philippe et Christelle font partager leur passion pour le « ludique » au K fée des jeux. Férus de jeux de société, ils accueillent les novices, comme les passionnés, dans une ambiance chaleureuse et féerique. Ils mettent les jeux à la portée de tous en expliquant patiemment les règles à chaque joueur.

La Commune

Nous fêtons cette année les cent quarante ans de La Commune de Paris. Trois mois de rêverie révolutionnaire, mais également de souffrances et de combats qui s’achevèrent dans un bain de sang. De nos jours, l’exemple de ces Communards semble avoir été oublié…

IMPROLOCO… ils en font toute une histoire !!!

Vous connaissez peut-être l’improvisation théâtrale, mais savez-vous que l’ImproLoco est un spectacle qui a lieu tous les vendredis soir à Fontaine ?
Mais, ImproLoco… Kézako ?
C’est un tourbillon de sketchs aussi hilarants, délirants et surréalistes les uns que les autres, tous improvisés par trois comédiens professionnels (jamais le même trio) : ils maîtrisent l’art de l’impro avec brio, c’est absolument  » bluffant « . À votre arrivée, on vous demande d’écrire un thème sur un papier, lequel sera placé dans un chapeau. Plusieurs thèmes (dont le vôtre peut-être) seront tirés au sort par les comédiens tout au long d’un spectacle sans cesse renouvelé.

Recherche heures désespérément

Florence Aubenas se présente comme femme seule, 48 ans à la recherche d’un premier emploi, sans enfant. Disponible jours, nuits et week-ends. Elle a rejoint la légion de chômeurs et vécu avec eux l’insupportable.
Première désillusion : il n’y a rien pour elle. Rien. L’employé d’une agence d’intérim résume sa situation : « Vous êtes plutôt le fond de la casserole, Madame « . Pôle emploi la met sur une piste : devenir femme de ménage, dans un secteur en pleine expansion, corvéable à merci, pour un salaire dérisoire. La résignation et la soumission seront son lot quotidien.

L’histoire d’un printemps

Il était une fois, une reine blanche nommée Bardhë qui gouvernait un univers de glace et de neige. La légende racontait que quiconque s’y aventurait, périrait dans d’atroces souffrances dans les méandres de sa mélancolie. D’apparence merveilleuse, sa beauté figée attisait la curiosité et l’envie des hommes qui se perdaient dans sa propre prison. Un jour, alors que la tempête faisait rage, un aventurier du grand Nord s’égara dans la vallée interdite. Étranger à cette région, le voyageur ne connaissait pas les histoires effroyables que l’on y racontait. Le coeur vaillant, il s’enfonça dans une étrange forêt d’arbres pétrifiés par le froid, non loin de là, au milieu d’une patinoire qui devait, jadis, être une clairière. Il aperçut des ombres figées, recouvertes de neige. En s’approchant, il réalisa que ce n’était pas des statues, mais des hommes de tous âges emprisonnés par le gel. Pris de panique, il hurla au secours ; ses cris de désespoir retentirent en écho dans le labyrinthe de glace. Perdu et face à la mort, il vit une lumière écarlate transpercer le silence de la nuit et rayonner sur les troncs glacés, laissant apparaître la reine fantôme.

Hadopi : touché-coulé !

De nos jours, tout le monde (ou presque) télécharge. Le développement de l’Internet haut-débit depuis une dizaine d’années et les offres plus qu’alléchantes des fournisseurs d’accès ont nettement favorisé l’acquisition rapide, gratuite (et illégale ?) de produits culturels. Sommes-nous tous des pirates en puissance ?
 

SAGA AFRICA

L’exposition  » Ce que nous devons à l’Afrique « , présentée au Musée dauphinois jusqu’au 9 janvier 2012, retrace l’histoire de ce continent, berceau de l’humanité. Lucy, témoin privilégiée, apportera son regard d’hier à aujourd’hui sur une sorte de malédiction. En 1974, Lucy, australopithèque découverte à Hadar (Éthiopie), est déterrée après 3,2 millions d’années de sommeil. À sa sortie, elle est frappée par les inégalités flagrantes entre les différents continents et s’aperçoit que le sien a été sacrifié au profit des autres.

Pour les petits glaçons et les petites billes… ou pas !

Avant d’être un auteur à succès, PEF (Pierre-Élie Ferrier) est un auteur militant, qui se bat contre l’illettrisme. Lorsqu’il veut raconter ses histoires, il utilise deux plumes : l’une écrit et l’autre dessine. La première dérape à la moindre occasion et la seconde la suit les yeux fermés. En 1980, sort  » La Belle Lisse Poire du Prince de Motordu « , un classique utilisé fréquemment par les instituteurs.