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Le quartier Villeneuve-Village Olympique accueille l'unique Zone Franche Urbaine (ZFU) de l'Isère. Volet économique du projet de renouvellement urbain des quartiers sud de la ville de Grenoble, ce dispositif a permis en neuf ans d'existence de créer plus de 740 emplois exonérés, dont plus du tiers a bénéficié à des habitants des quartiers en Zone Urbaine Sensible (ZUS) et des jeunes de moins de 26 ans.

Organisé par le CCAS de Grenoble, cet atelier s'adresse en priorité aux demandeurs d'emploi bénéficiaires du RSA, et de manière générale aux personnes qui ont besoin de prendre de l'assurance, rompre l'isolement, s'impliquer dans un projet collectif à la fois ludique et sérieux. Les cours ont lieu tous les lundis soir de 18h à 20h à la Maison des Habitants Chorier Berriat.

Etienne Primard, co-fondateur de Solidarités Nouvelles pour le Logement ( SNL) vient d'être élu entrepreneur social de l'année 2012 par la Fondation Schwab et le Boston Consulting Group (BCG).

Aujourd'hui, toute famille avec deux enfants perçoit une allocation de 127 euros par mois. Cette somme est majorée en fonction du nombre d'enfant mais aucunement en fonction des ressources de la famille.

La ville de Grenoble engage, de janvier à juin 2013, une évaluation partagée des démarches de démocratie participative. Il s'agit de dresser un premier bilan de l'action de la Ville en ce qui concerne la participation citoyenne et d'envisager, grâce aux apports de tous, les améliorations et changements à opérer dans le projet de démocratie locale.

"La situation sociale en Europe et l'accroissement du nombre de personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté auraient au contraire justifié une augmentation de l'aide destinée aux européens les plus fragiles"

Jeudi 14 février à 12h30, s'est tenue une nouvelle conférence de l'Odenore. Celle-ci concernait le non recours au droit au logement/hébergement opposable (DALO/DAHO).

En 1992, Anne-Françoise Bône était étudiante en Lettres. Ce cursus aurait pu l’amener vers une carrière d’enseignante de français, mais cette perspective était pour elle peu motivante. Son choix, affirmé dès le lycée, d’étudier la littérature se fondait plus largement sur une passion : « la passion pour le langage », « la passion de la langue comme outil », outil de lien entre les êtres et outil pour soi.

De son année passée au Bon Plan en tant que rédacteur, Mayeul ne se souvient de rien de précis, pas même des articles qu’il a écrits. Quelques flashs surgiront au cours de la conversation, comme les discussions animées autour du café du matin, mais ses efforts pour se souvenir resteront infructueux.