Interview : Jean-Pierre Diouloufet
Les Réseaux d’Echanges Réciproques de Savoirs (RERS) existent maintenant en France depuis une quarantaine d’années. Pour en savoir plus sur cette question, nous sommes ainsi allés à la rencontre de Jean-Pierre Diouloufet, animateur au centre social Vieux Temple de Grenoble.
Compte rendu sur la journée du 22 Mars 2011 au théâtre Prémol : « Espace public : les violences fait
Le 22 mars au théâtre Prémol s’est déroulée la journée de rencontres « Espace public, les violences faites aux femmes à la rue ». Elle ... Lire l'article
« L’errance est immobile » au Fournil
Le 30 mars à 18h30, au Fournil s’est jouée une version allégée de la pièce de théâtre « L’errance est immobile », une coproduction ... Lire l'article
Les cantonales, clap de fin
Les 20 et 27 mars prochains se dérouleront les élections cantonales, les dernières sous cette forme actuelle. C’est à un scrutin en manque de lisibilité ... Lire l'article
Adoma : des travailleurs migrants aux jeunes actifs
Adoma, vous connaissez ? Construit à partir du latin " ad " qui signifie vers et " domus ", la maison, cela donne " vers la maison ". Fondée en 1956 pour loger les travailleurs algériens et résorber les bidonvilles, la Sonacotral, devenue ensuite Sonacotra puis Adoma, gère 450 résidences dont 12 en Isère.
Le stress au travail, le pourquoi du comment !
Depuis quelques années, le stress au travail progresse dans notre pays et touche l'ensemble des secteurs d'activité, publics comme privés. C'est devenu une priorité nationale d'essayer de rétablir le lien entre travail et bien-être. Mais la vie se résume-t-elle au seul travail ? N'y a-t-il pas d'autres maux qui peuvent être pris en compte ?
La Commune
Nous fêtons cette année les cent quarante ans de La Commune de Paris. Trois mois de rêverie révolutionnaire, mais également de souffrances et de combats qui s'achevèrent dans un bain de sang. De nos jours, l'exemple de ces Communards semble avoir été oublié...
Maman… Y’a des Cigognes à Grenoble ?
" Oui, mon poussin ! Il y en a ! " Depuis que Boise Antelme a créé l'association Les Cigognes en 2002 à Grenoble. Il y a non seulement des cigognes, mais aussi des autruches, des poussins, des perroquets...
"C'est avec une pointe d'humour que l'on traite le sujet de l'enfant non reconnu, afin de dédramatiser les situations " nous dit Antelme, et d'ajouter : " des noms d'oiseaux sont utilisés pour définir le statut de chacun dans cette grande famille. Les cigognes sont donc des femmes qui ont des enfants (poussins, poussines) avec des hommes qui font l'autruche ". L'association soutient toutes les personnes qui ont un enfant non reconnu dans leur famille. Réseau d'entraide entre mères célibataires, elle soutient aussi des pères qui ont abandonné leur enfant puis ont changé d'avis, des frères, des soeurs, des grands-parents en recherche de leur descendance, autre que locale, en ayant pour ambition de faire évoluer les mentalités, de faire changer les lois sur la filiation.
IMPROLOCO… ils en font toute une histoire !!!
Vous connaissez peut-être l'improvisation théâtrale, mais savez-vous que l'ImproLoco est un spectacle qui a lieu tous les vendredis soir à Fontaine ?
Mais, ImproLoco... Kézako ?
C'est un tourbillon de sketchs aussi hilarants, délirants et surréalistes les uns que les autres, tous improvisés par trois comédiens professionnels (jamais le même trio) : ils maîtrisent l'art de l'impro avec brio, c'est absolument " bluffant ". À votre arrivée, on vous demande d'écrire un thème sur un papier, lequel sera placé dans un chapeau. Plusieurs thèmes (dont le vôtre peut-être) seront tirés au sort par les comédiens tout au long d'un spectacle sans cesse renouvelé.
Recherche heures désespérément
Florence Aubenas se présente comme femme seule, 48 ans à la recherche d'un premier emploi, sans enfant. Disponible jours, nuits et week-ends. Elle a rejoint la légion de chômeurs et vécu avec eux l'insupportable.
Première désillusion : il n'y a rien pour elle. Rien. L'employé d'une agence d'intérim résume sa situation : "Vous êtes plutôt le fond de la casserole, Madame ". Pôle emploi la met sur une piste : devenir femme de ménage, dans un secteur en pleine expansion, corvéable à merci, pour un salaire dérisoire. La résignation et la soumission seront son lot quotidien.