Parlons-en : les expulsions
Comme tous les deuxièmes jeudis de chaque mois, l’association Parlons-en se réunit à la Maison des Habitants du Centre-Ville. Le thème choisit pour cette rencontre : les expulsions.
Le réseau de l'info solidaire
Comme tous les deuxièmes jeudis de chaque mois, l’association Parlons-en se réunit à la Maison des Habitants du Centre-Ville. Le thème choisit pour cette rencontre : les expulsions.
La suspension de la trêve hivernale au 1er avril ne signifie pas forcément pour les locataires la fin des recours possible pour éviter l’expulsion : plusieurs dispositifs peuvent encore être activés.
Contrairement aux prévisions et malgré les inquiétudes, l’hiver 2014 aura été le deuxième plus chaud hiver en France depuis 1900. Mais ces conditions climatiques plus « favorables » comparées à d’autres années ne rendent pas la vie des personnes à la rue forcément moins difficile, ni la crainte des expulsions – une fois achevée la période de trêve hivernale – moins présente chez les ménages précaires.
Le 19 juin au soir à la mairie de Grenoble a eu lieu une séance d’échanges autour du plan de lutte contre la pauvreté. Olivier Noblecourt, le vice-président du CCAS, a animé le débat, en présence du Maire de Grenoble, Michel Destot, et le Préfet de l’Isère, Richard Samuel. François Chérèque, Inspecteur Général des Affaires Sociales en charge du Plan gouvernemental de lutte contre la pauvreté, a présenté la synthèse du concept du plan et les axes majeurs de son déploiement. Martin Hirsch, Président de l’Agence du service civique, a partagé des observations pour la partie RSA qui est un des piliers de la lutte contre la pauvreté en France.
Avant même l’entrée en vigueur des modifications du droit au séjour des étrangers malades, le 16 juin 2011 par la loi Besson, les associations pressentaient de graves impacts sur la santé des immigrés, et plus largement sur le respect des droits de l’homme en France. Deux ans plus tard, ces conséquences peuvent déjà être mesurées et analysées. Qu’en est-il donc du titre de séjour délivré pour des raisons médicales ? Comment la procédure se passe-t-elle en réalité ? Et quelle est l’influence des modifications sur la pratique des préfectures ?